Elles s'appelaient Herta, Liesel, Liselotte, ou Hildegard. Elles étaient secrétaires, infirmières, femmes au foyer, ou gardiennes de camp. Elles ont fait partie des centaines de milliers de femmes qui se sont mises au service de l'idéologie nazie, en rejoignant les territoires conquis par le IIIe Reich, à partir de 1939. On les pensait témoins passives d'un génocide mené par les hommes. On les découvre -aussi- complices, et -même- meurtrières.
Je reviens de Soucia, une histoire de tantes à culs, et je vous l'abandonne, qui dit bander, quelques réflexions, saumâtres. J'habite -ici- depuis plus de quatre décennies, rivé, et gauche. C'est la première fois que je m'y risque, un contenu valant mieux que deux tu l'auras. Bien qu'ayant bu quelques tasses, du vivant de Georges, que je ratai, étant au Club, à l'époque où régnait la chevaline. J'aime le sort du con, le boire, au fond des soies.
Disons-le tout net : fente et zizi. Le syndrome foyer, vraisemblablement. Mais qui était ce fauteur de scandale, accusé d’être Barbe bleue, cet artiste -si génial- né sous la bonne étoile de Rainer Maria Krill, et des très gauchistes Aventures de Tintin & Milou ? Balthazar Kłossowski (1908 Paris - 2001 Château-d'Œx, Suisse), d'origine prussienne et polonaise, plus connu sous son pseudonyme Balthus, aura été l'un des peintres les plus singuliers du XXe siècle.
En septembre 1925, Georges Remi (1907-1983) entre au service des abonnements du Vingtième Siècle, un quotidien belge servile (1895-1940), dirigé par l'abbé Casse-Couilles, religieusement. Dans La Noël du petit enfant sage, Remi met en scène un jeune garçon, accompagné de son chien, un fox-terrier blanc, qui le suit partout.
Balthus, célèbre pour ses tableaux de jeunes filles en fleur, adolescentes à peine pubères, exposées aux regards des voyeurs, dans des poses suggestives. Ce thème, qui fera scandale : «Je demande simplement au Met d’être plus vigilant concernant les toiles qu’il accroche à ses murs et de comprendre ce que ces tableaux insinuent», incita maints commentateurs à le considérer comme un peintre sulfureux.
Et, par là, je n'entend rien, disait Dac !!! Ce n'est pas la chair à boire, tout de même ! Et pan, sur le vit ! Dans la mythologie grecque, Pan, « tout » ou « faire paître », d'une racine signifiant « gonfler, faire croître », dieu de la fertilité, célèbre pour son appétit sexuel bestial et insatiable est, à l'image des satyres, dont il partage la compagnie, représenté mi-homme mi-bouc. Dans la sainte et saine modernité, cependant, et comme il est dit : avant, c'est pendant, après, c'est pendant, nous avons Fessebouc, tout de même !!!
Étrange est le destin de ce dieu, Priape, que les auteurs -anciens et modernes- n'ont cessé de confondre avec d'autres figures de la sexualité : Pan ou les satyres, mais -aussi- avec son père Dionysos, ou avec Hermaphrodite. Dans la mythologie grecque, dieu de la fertilité, ithyphallique; dans la romaine : Mutunus Tutunus.
Les dernières tasses, éradiquées par les hidalgiènes Decaux, lieu de rencontres, où les corps s’abandonnent, les fantasmes se construisent, et les b(r)aguettes s'emp(l)issent. Je ne me sentis plus tiré (!) par mes haleurs. Stanislas, & jupes plissées.
De l'art cochon, peut-être. Une pensée sauvage, comme l'ère chrétienne. Baptismale. A un rythme de métronome. On a pas toujours le choix dans la date, je vous l'accorde. Parfois immaculée. Perso, plutôt mauvais. Mutatis mutendive bouteille. rabelaisienne. Evitant les jeux de langues ! Voire les homophonies. Et il n'est pire sourd que celui qui veut bavoir. Amphibologiques. Borderline. Chez les naturistes bon teint, les bijoux sexuels sont interdits.
Avec les nids. Service d'étable. On dit, aussi : trois-pièces. Sans évoquer les écuries d'Augias. Le maire et ses conseillers, herculéens. On serait tentés de rajouter : drôles !!! Et le soutien, involontaire, du voisin Georges ! Lactaire en pente douce, et savonneuse. Au Vatican, les religieuses mettent-elles les voiles ? L'amour, c'est l'Enfer, parce que Satan l'habite.