J'ai des principes dans la vie mais si vous ne les aimez pas, j'en ai d'autres (Groucho Marx)
La Wehrmacht parade, sur les Champs-Élysées : Bruits de bottes.
La Palestine exterminée : Business as usual.
Est-ce à répéter, ou à taire ? Bruits de chiottes, bruits de bottes, pantouflards, et pantoufleurs. Nos nuits sont plus belles que vos jours, ou : quand les assassins avaient -déjà- le sens de la mesure. C'est à propos d'un gigantesque pogrom, qui embrassa la plupart des villes du pays, où vivaient des populations nombreuses. L'agression violente, le 7 novembre, par quelques hommes armés, des libérateurs ? La libération ! Par l’armée du crime ? de quelques Occupants, servit de prétexte, à un déchainement convenu, bienséance et appâtage rituel, boucherie cache-sexe : tout un pays, rasé; des milliers de personnes, assassinées.
Entreprise -insupportable- révélatrice, si c'était, encore, pour un reliquat de criminels complices, crétins culpabilisés, valseurs hébétés, hollandais violents, cacas démis chiens, infâmes qui croûtent à mes frais, verts-de-gris new age, verts de peur du verre à moitié plaint, casseurs désaccordés, lévites évitant, pineuses errantes, ea, insu, du caractère évidemment délétère de la mystique nationaliste millénariste, ce pogrom est accompagné de la déportation de populations entières, antichambre d'une extermination gazaouie généralisée. Déjà, à l'époque, l'Occupant mettait en œuvre le ratio suivant : un Occupant tué, vingt otages exécutés. L'Histoire repasse les plats. La pornographie continue, arrogante et imbécile, pour mille ans, vache sacrée, sans répit.
Passé grand-maître dans l'art -indiscret- de la reine auburn & de la carpe factieuse, muet sur les crimes, Julius Henry Marx (1890 Satory, Yvelines - 1977 Los Angeles, California), pas maussade pour un sou, pas ronchon, non plus, nait, non loin de Sarcelles, au premier étiage, au dessus de la boucherie Alal. Julius est, alors, l'arrière-petit-neveu -et l'héritier passif, et putatif- de Karl Marx, le célèbre sophrologue arménien de Mainz.
Comme Giovanni Engelmann, il est primogenito devant, de redit : Haro, qui fait l'âne pour avoir du son, Chicon, adepte de la dive bouteille, Ummo, pas très net convenons-en, & Zippa, plus allumée que Nathan, mi-août.
Dès son plus jeune âge, Julius souffle le faux et le choix, planant sur les aubes d'été, embrassées à perte de vue, nom de Dieu, et envisage de devenir médecin-chef de cunnilinctus, avec l'objectif, inavoué -il songea, même, à devenir notaire, sabra au clair de l'une, ou de Loth, piètre et fier, à Maubeuge- de séduire sa première dame, mère embryonnaire congelée courtisée -assurément- avec delicatessen et moult poudrier.
Souffrant d'un humour, vaste comme la nuit et comme la clarté et, à cette heure, avéré, & malgré un mauvais goût -imparable- pour l’absurde et la dérision, Julius néglige les avertissements -pourtant appuyés- de son entourage dedans : azimuté, il feint d'ignorer la méthode boulangiste Ceci dit belle abaisse, et ne se soigne pas sérieusement.
Mal lui en prit : dès l'âge de 70 printemps, les symptômes firent, Maman et, soudainement, résurgence, de plus belle, de jour, comme de nuit. Las de manger des clous, le devenu sévère Adamson gire, houmous nocturne, et consommateur ignoble et, affecté, au front, du syndrome de l'aîné, la guerre, jusque-là, il s'en foutait, comme de ses premières papillotes, se met à -très fortement- douter : "Tout ce que je sais, sec jeune saurien ornithorynque, et tutti chianti, fors l’honneur : suis-je le gardien de but dans la vie de mes frères, moi ?"
Est-ce taire le ténébreux, partant pourri, quitte à finir en cabane, en chambre double ? Et, pendant ce temps-là, Paulette, militaire, bombe le tarse et, telle une mère d'Achille moderne, l'aura, l'aura pas, le cœur gonflé d'orgueil, autant qu'œdipienne, prend son pied, morbide, sûre d'elle-même, et dominatrice.
Le père de Julius, Simon Marthe, et on connait l'impotence, chez les Juifs, il en fut, mi-gêné, mi-maure, mi-morigéné, de l'amère patrie, étant d'origine école alsacienne, sa mère, Miene Schönberg, quant à elle, comme Baruch, étant de Hollande, Simon était, par ses fils, cherchant à en découdre, surnommé : le Frenchie.
Qui plus est, le patriarche étant passé marrane, dès la deuxième semaine et -oportunément- porté sur le vin de messe -plus particulièrement salement, lors de ses séjours à Hannover- et sur la recherche du gras, sur la la moquette, ces fils lui répétaient, à qui mieux-mieux: Freine, chignole ! comme on dit, en Saône primitive. J'ai embrassé l'aube d'été et, en été, faire gaffe : carcan c'est sec, Everyone Says I Love You !!!
Avec un adversaire retors ou en position de supériorité : ne négociez pas. Tuez-le, promptement; récupérez, prestement, son équipement; prenez, rapidement, la tangente. À la question : "Pourquoi cachez-vous vos bombes dans des couffins ?" Mohamed Larbi Ben M'hidi (1923 Aïn M'lila, wilaya d'Oum El Bouaghi - assassiné 1957 Alger), héros de la guerre, en Algérie, répondit : «Donnez-nous vos avions et vos chars, et nous vous donnerons nos couffins.»